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PUBLICATIONS

Ces publications se présentent pour la plupart sous forme de fascicules ou plaquettes ; certains sont en noir et blanc, d'autres en couleurs. Ils sont en principe tous disponibles car réédités en cas de besoin. Le prix est de 4,00 à 15,00 € l'unité (prix réduit pour les adhérents de la Société d'histoire de la Cadière). Reportez-vous au descriptif des publications proposé ci-dessous. Vous pouvez vous procurer ces fascicules en en faisant la demande à notre adresse mail : histoire.cadiere@gmail.com ou par téléphone au 06 38 60 22 73. Les informations concernant le règlement vous seront données (à votre choix chèque, carte bancaire, espèces). Cliquez sur le titre qui vous intéresse et vous ouvrirez un résumé.

1/ UN CADIÉREN HORS DU COMMUN : AUGUSTE CHARLOIS  (1864 – 1910) , L'ASTRONOME ASSASSINÉ

2/ LA CHAPELLE SAINT-CÔME ET SAINT-DAMIEN, Ve – XVIe siècles

3/ LE TÉLÉGRAPHE DE CHAPPE ET SON ARRIVÉE À LA CADIÈRE en 1821

4/ LE PEINTRE ET ILLUSTRATEUR ANDRÉ FAVORY (1889 – 1937)

5/ LES PÉNITENTS ET LEURS CHAPELLES

6/ LA CADIÈRE PENDANT LES GUERRES DE RELIGION (1562 – 1596)

7/ LA CADIÈRE À TRAVERS LES CARTES DE LA PROVENCE (1525-1861)

8/ UNE GRANDE LIGNÉE DE MARINS CADIÉRENS, DU XVIIe AU XIXe SIÈCLE : LES CASTILLON

9/ LE CADIÉREN MAGLOIRE GIRAUD (1798 - 1878), HISTORIEN ET ARCHÉOLOGUE

10/ EN MÉMOIRE DES CADIÉRENS MORTS POUR LA FRANCE PENDANT LA GRANDE GUERRE

 

Charlois

1/ UN CADIÉREN HORS DU COMMUN : AUGUSTE CHARLOIS  (1864 – 1910) , L'ASTRONOME ASSASSINÉ

Dans la maison du 3 avenue Marx-Dormoy naquit en 1864 le grand astronome que fut Auguste Charlois, assassiné à Nice en 1910. Il découvrit une centaine d'astéroides lorsqu'il travaillait à l'observatoire de Nice. L'une d'elles porte son nom, de même que la petite coupole de l'observatoire de Nice. Non loin d'ici, une rue de la Cadière porte son nom et son corps repose dans le vieux cimetière du village.

 

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2/ LA CHAPELLE SAINT-CÔME ET SAINT-DAMIEN, Ve – XVIe siècles

.. "Du fond du tableau se détachent par leur blancheur de nombreuses bastides, les unes isolées, les autres groupées, toutes ombragées d'un treillage de jasmin ou de vignes sous lequel s'abritent la rose et la cassie, l'œillet et le violier. Au centre de cette terre privilégiée s'élève, sur les ruines dispersées d'une plus grande église, une petite chapelle, dédiée aux saints martyrs Côme et Damien, d'où la vallée a tiré son nom ; édifice modeste, entouré d'oliviers séculaires, et à demi caché sous le lierre rampant qui grimpe sur ses murs, les tapisse et pare leur vieillesse ; monument peu digne d'attention sous le rapport architectural, mais auquel se rattachent des souvenirs pleins d'intérêt. C'est l'emplacement de l'ancienne église de Saint-Damien, un des premiers biens temporels que posséda l'abbaye de Saint-Victor de Marseille"...

Ces quelques lignes, d'une exquise poésie, ont été écrites en 1849 par le Cadiéren Magloire Giraud, qui fut curé de Saint-Cyr pendant cinquante ans. Il ne pouvait pas y avoir plus charmante introduction à la description de la modeste chapelle Saint-Côme que le promeneur peut apercevoir à quelques mètres de la route qui traverse la vallon de Saint-Côme. Inscrite aux monuments historiques en 1981, elle est tout ce qui reste d'une église ayant appartenu à un ancien prieuré agricole de l'abbaye Saint-Victor de Marseille. Cette église avait été édifiée, probablement au Xe siècle, avec réemploi de pierres de taille, sur les vestiges d'une villa gallo-romaine datant, semble -t-il, du Ve siècle. La chapelle actuelle est le chœur voûté de l'ancienne église qui, d'après les savants calculs d'archéologues, devait avoir un transept de 11,40 m et une nef, jusqu'à l'abside, de 19 m, alors que la largeur de l'abside subsistante n'est que de 3,80 m. Cet ensemble a été délaissé au cours du XIVe siècle, siècle à la fin duquel le prieuré n'est plus mentionné dans les états de l'abbaye-mère. La chapelle, qui était en triste état au moment ou le chanoine Giraud écrivait les lignes qui précèdent, a été relevée de ses ruines. Les travaux de restauration, effectués dans les années 1970/1990 nous permettent maintenant de poser un regard presque attendri sur cet endroit bucolique dont nous essayons de faire revivre le passé.

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3/ LE TÉLÉGRAPHE DE CHAPPE ET SON ARRIVÉE À LA CADIÈRE en 1821

Le dernier poste du télégraphe de Chappe dans les Bouches-du-Rhône était celui de Ceyreste. Suivait celui de la Cadière, édifié en 1821, numéroté 43, installé à 2,400 km au sud-sud-est du village, sur la colline de Pibarnon, non loin de la borne indiquant le point culminant de 324 m. mais seulement à l'altitude de 250 m (et non 324 m comme il est souvent indiqué par erreur, car si l'altitude de 324 m avait été retenue, il n'aurait pas été possible de transmettre les signaux vers le poste suivant, celui d'Ollioules ; en effet, le "passage" était très étroit, le long du nord du Gros Cerveau, à travers les grès de Sainte-Anne d’Évenos. Le poste de la Cadière figure sur le cadastre "napoléonien", section Pibarnon - parcelle 591, sous le nom de « Signal télégraphe ». C'était une tour carrée de 3 m de haut, dont il ne reste probablement qu'un tas de pierres dissimulé dans une propriété privée, sous un amas de végétaux. Comme beaucoup de ces tours après l’arrêt définitif de l’exploitation du télégraphe optique, elle a probablement été recouverte de tuiles, pour en faire un abri de chasseurs. Altitude 250 m, hauteur 3 m.

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Saint-Come
Télégraphe
Favory

4/ LE PEINTRE ET ILLUSTRATEUR ANDRÉ FAVORY (1889 – 1937),

dont le nom a été donné à l'une des voies de la Cadière d'Azur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout au long du XXe siècle et encore maintenant, la Cadière d'Azur a été un lieu de passage ou de séjour pour de très nombreux peintres, attirés dans ce village par la beauté des paysages et l'extraordinaire lumière qui y règne. Beaucoup d'entre eux y sont venus, invités par des amis qui avaient choisi d'y fixer leur atelier. Parmi ceux-ci, intéressons-nous à André Favory (1889-1937), peintre et graveur, car il posséda une maison avec atelier à la Cadière d'Azur (la commune lui a rendu hommage en donnant son nom à l'une de ses voies). André Favory est méconnu du grand public... et même de la plupart des Cadiérens, et nous avons tenté de lui rendre justice dans un petit fascicule, en rassemblant quelques éléments épars qui montreront qu'il a marqué son époque par son style très caractéristique et difficilement classable. Voici quelques-unes de ses œuvres :

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5/ LES PÉNITENTS ET LEURS CHAPELLES

 

Les pénitents blancs

 

Cette importante confrérie cadiérenne nous a laissé une trace bien visible, la chapelle Sainte-Marie-Magdeleine, située sur la partie la plus élevée du village. Les "frères" de cette confrérie étaient dénommés "pénitents blancs" car ils étaient vêtus d'un sarreau (ou chape) de toile blanche, avec cagoule blanche, sorte de capuchon pointu à son sommet et ne laissant apparaître que les yeux, en signe de pénitence.

 

C'est le 3 mars 1566 que fut instituée, sous l'invocation de sainte Marie-Magdeleine, la confrérie des pénitents blancs de la Cadière, avec l'approbation de l'évêque de Marseille, Pierre Ragueneau. Ils firent bâtir l'année suivante, grâce en partie à une créance communale de 14 écus, une chapelle sur la plus haute colline de la Cadière, à l'emplacement de l'ancien château féodal qui n'était plus que ruine. Et bien entendu cette chapelle fut appelée chapelle Sainte-Marie-Magdeleine. D'illustres Cadiérens firent partie de la confrérie, et en particulier plusieurs membres de la noble famille de Castillon, originaire de Naples et établie en Provence à la fin du XIVe siècle ; plusieurs membres de cette famille furent seigneurs du Castellet et de la Cadière. Un cimetière était attaché à cette chapelle comme c'était l'usage. La chapelle est indiquée nous le n° 479, section dite du chef-lieu, dans le cadastre napoléonien levé le 22 mai 1830, et le cimetière attenant, sous le n° 482.

 

La chapelle Sainte-Madeleine était richement décorée, comme celle des pénitents noirs. Magloire Giraud nous rapporte qu'elle contenait une belle collection de tableaux représentant pour l'essentiel les principaux traits de l'histoire de sainte Madeleine; on y remarquait en particulier "Magdeleine chez Simon le pharisien", par Claude Despeches (auteur d'autres œuvres moins importantes pour cette même chapelle). Parmi d'autres tableaux importants, citons "Notre Seigneur apparaissant à Marie-Magdeleine" sous la forme d'un jardinier, réalisé par Arnaud, directeur de l'école de dessin de Marseille, "Magdeleine arrivant au Port de Marseille". Citons enfin "Marie-Madeleine recevant la communion des mains de saint Maximin", et quatre tableaux de paysages bibliques de l'école flamande. Un chapiteau en marbre blanc d'ordre corynthien à feuilles d'acanthe, de 0 m 50 de hauteur, qui supporte la crédence, provient des fouilles de Tauroentum. La chapelle est devenue propriété privée après la dernière guerre, et elle a subi régulièrement diverses modifications, concernant en particulier le toit et les façades.

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Les pénitent noirs

La confrérie des pénitents noirs de la Cadière est beaucoup plus récente que celle des pénitents blancs, puisqu'elle a été établie en congrégation le 12 août 1633, sous l'invocation de Notre-Dame de la Miséricorde. Il existait déjà depuis 1630 chez nos voisins de La Ciotat, une confrérie de pénitents noirs, également placée sous la même invocation, et dont la chapelle, édifiée peu de temps après et qui existe toujours, joliment restaurée, porte actuellement le nom de chapelle Sainte-Anne.

Pour assurer leurs fonctions au plus vite, les pénitents noirs utilisèrent la petite chapelle Saint-Éloi, qui se trouvait dans le bas du village ; devenue terrain de jeu pour les enfants et très dégradée, elle fut détruite et le site fut comblé et remplacé par le monument aux morts à son emplacement actuel. En 1664, ils firent ériger leur propre chapelle qui prit tout naturellement le nom de Notre-Dame de Miséricorde. À l'instar de la confrérie des pénitents blancs, celle des pénitents noirs avait recruté dans ses rangs des membres d'illustres familles cadiérennes. L'édification de le chapelle fut confiée à Louis Gairoard (né en 1588 à la Cadière, décédé en 1678 à Roquevaire, Bouches-du-Rhône). Nous pouvons remarquer son emplacement sur le cadastre napoléonien.

L'architecture en est très simple et la façade, orientée au levant, est précédée d'une petite terrasse entourée de murets. Le clocher-mur présente un oculus à mi-hauteur, surmontant une niche où devait se trouver une statue, probablement celle de la Vierge. Sur les côtés on remarque les fenêtres d'origine, ainsi qu'au nord une petite porte d'entrée surmontée d'une pierre gravée où se lit la date de 1585, soit plus d'un siècle avant la construction de la chapelle ; il s'agit probablement d'un réemploi très tardif. D'autres dates sont visibles ; l'une avec de bons yeux - en haut et à droite du pignon de façade, indique 1771 ; une autre, au-dessus du porche d'entrée, indique 1772. Ces dates correspondent à des travaux de restauration et à l'installation d'un retable au-dessus de l'autel. Enfin, un petit bâtiment mitoyen, probablement une sacristie, se trouve maintenant remplacé par l'entrée du Crédit Agricole. Comme pour la chapelle Sainte-Madeleine, un petit cimetière était accolé à la chapelle de la Miséricorde, côté sud. C'est dans ce petit cimetière que fut inhumé le 8 décembre 1726 le sculpteur Joseph Lieutaud, ami de Puget, et très connu pour sa réalisation du maître-autel de la basilique de Saint-Maximin ; il avait pris sa retraite à la Cadière, au lieu-dit le Moutin. Mais comme il n'était pas membre de la confrérie, son inhumation provoqua quelques remous dans le cité.

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6/ LA CADIÈRE PENDANT LES GUERRES DE RELIGION (1562 – 1596)

Les guerres de Religion sont une série de huit conflits qui ont ravagé le royaume de France dans la seconde moitié du XVIe siècle, et où se sont opposés catholiques et protestants (appelés aussi "huguenots"). La "Ligue" regroupait les catholiques mais était divisée dans notre Provence en deux groupe, les Carcistes, catholiques intransigeants et partisans du grand sénéchal de Provence, le comte de Carcès, Jean de Pontevès, et les Razats, partisans de la tolérance religieuse, rangés du côté du maréchal de Retz. Ces deux partis ravagèrent la Provence, brûlant nombre de communes et saccageant les campagnes. À l'opposé, les protestants, sous la conduite de François de Bonne, duc de Lesdiguières, maréchal et connétable de France, descendu de son Dauphiné natal, attaquèrent les partisans de la Ligue. La Cadière, restée ligueuse, n'échappa pas au désastre. C'est le capitaine Boyer, d'Ollioules, qui fut chargé de la besogne : le village fut bombardé dès le 3 juillet 1592 depuis les hauteurs du Moutin, où des canons avaient été apportés de Toulon. Le 5 juillet, le village se rendit et des otages furent désignés en garantie de la forte rançon demandée par les huguenots. Boyer, devenu capitaine d'une compagnie de chevau-légers et colonel d'un régiment d'infanterie, fut nommé gouverneur de la Cadière aux frais de la communauté. Puis le roi donna l'ordre à Boyer d'édifier sur la motte de Bandol un château et des fortifications solides afin de s'opposer si le besoin s'en faisait sentir, à une flotte espagnole qui croisait dans les environs ; il lui donna en fief ce château et l'en nomma gouverneur avec traitement approprié. L'époque de la Ligue plongea la Cadière dans un état si lamentable, qu'elle n'a jamais pu s'en relever entièrement. Seuls quelques seigneurs purent le faire, certains par fortune de guerre (Boyer en est le plus typique exemple), d'autres par habileté politique, d'autres enfin, et ils sont nombreux, par la générosité (?) qui les poussa à prêter à la communauté des sommes importantes dont ils savaient faire composer les intérêts (jamais très bas). Nous vous proposons ci-après un extrait du Journal des guerres faites de 1585 à 1597 par M. Des Diguieres, écrit par Soffrey de Calignon, secrétaire et compagnon d'armes de Lesdiguières, et faisant mention des combats à la Cadière, la Ciotat, Ceyreste, Cassis, Roquefort.

Pénitents
Religion
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Cartes

7/ LA CADIÈRE À TRAVERS LES CARTES DE LA PROVENCE,

DE CELLE D'ORONCE FINE EN 1525 À CELLE DE VILLENEUVE-FLAYOSC EN 1851

 

 

La première carte de France "moderne" dressée et imprimée dans notre pays (carte dénommée Gallia), a été réalisée par le cartographe français Oronce Fine et publiée en 1525. Nous vous proposons de parcourir dans les pages qui suivent une vingtaine de cartes de France et de Provence (centrées sur la Cadière), et s'étalant de la carte d'Oronce Fine en 1525 à celle dressée par Hippolyte de Villeneuve-Flayosc en 1851. Il est intéressant de remarquer l'évolution du graphisme de ces cartes, et surtout la toponymie des villes et villages entourant la Cadière, notre village étant le seul à avoir conservé son nom exact au fil des siècles, jusqu'à son appellation de La Cadière d'Azur.

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Castillon

8/ UNE GRANDE LIGNÉE DE MARINS CADIÉRENS, DU XVIIe AU XIXe SIÈCLE :

LES CASTILLON

La Cadière fut pendant plusieurs siècles un territoire maritime, puisqu'avant sa séparation d'avec Bandol en 1715 puis Saint-Cyr en 1825, l'accès maritime était évident, et nombre de paysans cadiérens se trouvèrent une vocation de marins (plusieurs centaines d'entre eux avaient été faits prisonniers par les "barbaresques" jusqu'au XVIIe siècle). Parmi eux, certains devinrent officiers de marine, et nous nous attardons dans cet ouvrage sur les membres de la famille de Castillon qui coururent les mers pendant deux siècles.

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Giraud

9/ LE CADIÉREN MAGLOIRE GIRAUD (1798 - 1878),

historien, archéologue, membre de plusieurs sociétés savantes,

curé de Saint-Cyr pendant 50 ans

Après avoir évoqué dans un précédent fascicule la vie d'un Cadiéren remarquable, l'astronome Auguste Charlois, nous vous proposons ici une courte biographie d'un autre Cadiéren digne du plus grand intérêt, l'abbé Magloire Giraud, qui lui aussi, a été honoré par notre village puisqu'une avenue porte son nom. Nous n'en possédons hélas aucun portrait.

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Guerre

Cette plaquette vous présente une fiche pour chacun des Cadiérens morts pour la France lors de la Grande Guerre et dont le nom figure sur le monument aux morts de la commune ou sur la plaque commémorative de l’église Saint-André. Nous n’avons pas retrouvé la trace de quelques-uns d’entre eux (Marius Camoin, Antoine Canteri, Jules Estienne, Maximilien Colli, Jules Estienne, Marius Gueirard). Leurs mânes nous pardonneront certainement. Il nous a paru indispensable d’assurer ce travail afin que la mémoire de ces hommes ne tombe pas dans l’oubli.

                                                                                                                                           Fait à la Cadière d’Azur le 11 novembre 2021

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